Les shinobis du village avaient tous insistés pour que Karal aille à l'hopital et se dernier y était finalement aller. Il regarda la chambre qu'il avait d'habitude, elle n'avait pas changé. Le Kage vit Himiko entré, cette dernière dit :
- Je t'apporte les dernières nouvelles. D'abord j'ai fait ce que tu m'as demandé à propos de l'enlèvement de Kakashi. Les Ninjas que nous avons envoyer sur les lieux où le Chef d'un des villages du desert avait dit que Kakashi était retenu, sont revenus breudouille. Apparement les lieux indiqués ont été abandonnés après la découverte de Kakashi à Kiri, on a rien pû trouver. Ni empreintes, rien dans la grotte. En ce qui concerne les autres affaires j'ai tout noté dans ce papier. Autrement petit-frère comment ça va ?
Karal mit du temps à répondre à cause des bandages qui le fesaient plus ressemblé à une momie que à un humain.
- Je vais ... m'enfin ... ... ... les medecins me l'ont expliqué. Mes poumons ont été sévèrement touchés par l'attaque de Jiraya. J'aurais dû faire plus attention ... en plus de ma maladie aux poumons ...
Himiko l'interrompit brusquement :
- J'ai ouïe dire que tu avait dit que Suna ferait ses excuses publiques d'ici une semaine ? D'ici une semaine tu ne seras peut être plus là pour les faire !
La voix de Himiko était étranglé, on voyait clairement sur son visage que les larmes lui montaient aux joues. Finalement elle tomba sur le lit et dit :
- Pourquoi toi ? Pourquoi dit moi ! Je t'interdis de mourir sinon je ne te le pardonnerais pas. Pitié ne me laisse pas toute seule. Pitié, petit-frère. Je ne veux pas être toute seule.
Karal ne céda pas aux larmes qui montaient et il dit :
- Tu m'as promis de t'occuper de Suna si je partais. Cette promesse tu me l'as faîte et j'aimerais que tu la tiennes. Grande-soeur, Ne pleure pas, tu sais je ne vais peut être pas partir les medecins ont dit que ce n'était pas sûr que je parte.
Himiko finit par s'endormir sur les genoux de son frère.