[ Tout d'abord avis aux Admins, Tobi m'a donné le feu vert pour apprendre les ouvertures des portes à condition que je fasse 70 lignes pour la première et que j'aille à 150 lignes pour la dernière ]
" Quand on voit la vie telle que Dieu la faîte, il n'y a plus qu'à le remercier d'avoir fait la mort " Alexandre Dumas fils, Denise.
Il n'y a pas si longtemps que ça, la vie n'était pas prise aux personnes sans aucunes raisons. Maintenant aussi, l'homme cherche toujours une excuse derrière laquelle se cacher car il n'accepte pas de faire des erreurs, mais lorsque le simple stade d'erreur est dépassé alors il est impossible à l'homme de faire demi-tour.
Si Himiko avait eut le choix entre remonter le temps pour effacer la plupart de ses actes et continuer en se rongeant les ongles de ce qu'elle avait fait, elle n'aurait pas hésiter à aller jusqu'à l'os. Les regrets servent à se consoler soit même derrière une carapace que seul les autres arriveront à casser car de l'interieur on ne peux rien faire. De l'interieur on ne sait pas vraiment ce qui est comme ça, ni d'ailleurs ce qui ne l'est pas en faîte dans cette carapace il n'y a rien et pourtant on croit le contraire, on croit que tout les gens sont avec nous dans cette carapace mais c'est faux car à un moment ou à un autre alors on arrive à en sortir. Et alors ceux qui sont derrière nous ne nous demande pas de revenir car ils ne savent pas que l'on est partit, jusqu'aux moment où leur propre carapace explose en milles morceux pour laisser rentrer la lumière du jour ... jusqu'à ce qu'une autre carapace se forme. Himiko avait été emprisonné dans plusieurs de ces carapaces et maintenant encore plusieurs couches s'étaient formés, car elle était parti et que son maître était resté seul ? Non c'était sûrement autre chose. Plutôt le faît qu'elle soit parti parce que son maître voulait rester seul et à ce moment là elle ne savait pas si son maître était sincère ou alors s'il jouait la comédie comme ceux qui font des scènes dans le théâtre. Un homme ... un homme très puissant qui avait enseigné à Himiko un an durant juste avant de rentrer dans le village, mais cet homme enseignait à présent sans se battre, il trouvait cela trop ridicule et laissait aux soins de la nouvelle génération les guerres et la survie. Lui n'avait plus que une année à vivre et c'était tout ce qui lui restait ... pourtant pas une fois il n'avait exprimé des regrets, pas une seul fois il n'avait semblé être enfermé dans la même caparapace qui conssumait peu à peu les corps des humains, les entrainant vers le bas. Himiko était l'une de ces filles qui avaient eu une vie tellement dure qu'elle n'en parlait plus maintenant. Elle tentait d'oublier mais il y avait toujours ces regrets, cette carapace ... il est vrai que sa carapace était très grande, d'une épaisseur immensse mais elle tentait sans cesse de l'affronter mentalement. Himiko regardait le village depuis son bureau, lorsqu'elle se voyait dans la vitre elle ne voyait pas seulement son visage mais aussi celui des centaines de personnes qu'elle avait tué pour survivre, elle ne devrait pas exprimer de regrets à présent pourtant c'était le cas. Elle ne devrait pas mais pourquoi ? Pourquoi cette sensation la suivait sans cesse. Elle avait fait le bon choix sinon même neufs vies ne lui aurait pas suffit à survivre mais ... Himiko repensa à son maître. C'était bientôt le dernier anniversaire du vieil homme qui devait mourir dans l'année qui allait s'écrouler. Himiko avait pris ça pour dit et elle hésitait à présent à aller revoir son maître, elle n'avait pas envie de l'importuné dans ses derniers instants alors qu'il aurait pû être tranquille pour son anniversaire ... poutant elle décida tout de même de rendre visite au plus puissant ninja qu'elle ait connu à ce jour et qui avait eut la bonté suprême de l'entraîner même si ce ne fut que une année. La vie était bien mystérieuse et Himiko ne savait pas pourquoi son maître avait congédier tout ses élèves ... car Himiko n'était pas la seul à avoir étudié avec le Maître. Il y avait six autres personnes, venant tous de villages différents. Le Maître avait enseigné à ces élèves plus longtemps que à Himiko et finalement aucun n'avait eu le droit de rester malgré les suplications de certains. Himiko n'était pas la première à être parti mais pas non plus la dernière, elle avait eu du mal à quitter son maître et ses compagnons mais cette année elle était bien décidé à aller revoir le maître qui lui avait enseigné le Genjutsu dans ses plus grandes lignes ainsi que entre les plus grandes lignes. La Kazekage avait décidé d'y aller dès qu'elle pourrait et justement elle travaillait nuit et jour pour finir les paperasses avant son départ. Elle ne savait pas si d'autres auraient décidé la même chose que elle mais peut être que ceux qui étaient aller à Kiri et Konoha allaient venir. Elle avait garder le contact avec seulement deux anciens camarades d'apprentissage : deux garçons, Keiko et Saruso. C'étaient deux gars très fort l'un en ninjutsu, celui qui était à Konoha et l'autre en Taijutsu, il avait élu domicile à Kiri. Les deux garçons avaient promis de venir voir le vieil homme à son dernier anniversaire et Himiko était certaine de les recontrer. Enfin c'est ce qu'elle penssait à ce moment là. Elle regardait autour d'elle, dans son bureau, ne sachant pas quoi faire en attendant le reste des paperasses. Elle essayait toujours de concentrer son chakra dans ses mains mais à présent elle était assez fatigué pour ne plus vouloir faire cette action. Elle se rappella alors succécivement les derniers évements : La nomination de Kira au grade de Chef d'Anbu de Suna, l'attaque d'un ninja de Kumo sur Gaara. L'attaque de Pein et Hidan, ainsi que les nombreux noirs que cette journée avait laissé et pour finir les nombreux morts de ces derniers temps. Himiko ne savait plus où donner de la tête avec tout ça mais elle esperait par dessus tout en apprendre plus pour pouvoir mieux défendre son village. Elle n'avait pas prévu d'en parler à son maître car il était trop fatigué, trop faible pour le moment mais Saruso pourrait peut être lui apprendre des techniques de Taijutsu, comme la maître lui avait appris. Depuis les quelques derniers mois Himiko savait que Saruso avait réussi à ouvrir la septième porte de chakra et qu'il arriverait à ouvrir la huitième porte en cas de mort imminente d'un de ses compagnons mais ce que Himiko ignorait c'était que Saruso avait perdu pas mal de chakra pour maîtriser ces techniques de Taijutsu. Qu'allait il se passer à présent ? Himiko elle même ignorait la suite des évenements pour le village lorsqu'elle serait absente durant presque un mois, alors qu'à l'origine seul six jours d'absence étaient prévu. Les techniques les plus dur à maîtriser ne sont pas forcément les plus dur à apprendre. La nuance est faible entre maîtriser et apprendre pourtant elle existe. Le bureau que Himiko utilisait actuellement se situait dans l'un des cinqs villages du désert. Le village de Suna, lui, venait de se faire sauvagement attaqué par quatres membres d'Akatsuki. Himiko ressaçait le passé en marchant tranquillement dans le desert, en pleine nuit, alors qu'elle aurait dû être au chaud dans un bureau qui venait à peine d'être reconstruit. La Kazekage regardait les fleurs de Suna, elles étaient magnifiques dans ce desert de sable. Elles étaient comme une femme avant de tomber dans les bras d'un homme qui mourrait un jour au combat. Ces femmes devenaient tristes et elles ne se pardonnaient jamais la perte de leur mari, alors qu'elles savaient très bien qu'il ne fallait pas les laisser s'en aller. Elles le savaient pourtant en temps que femme leur devoir était de prier pour que leur mari revienne vivant. De même que il en était pour les hommes dans le cas des femmes les maris qui n'étaient pas ninjas et cela c'était très rare, ces hommes là croyaient en leurs femmes et n'avaient pas besoin de prier. Ces hommes là étaient tellement aveugle qu'ils souriaient encore quand on arrivait pour leurs dire " Nous sommes désolé, mais votre femme est morte sur le terrain ". Oui ce genre d'histoire était triste et c'était le genre d'histoire que Himiko avait entendu tant de fois le pire c'était quand ces histoires morbides étaient réel alors là ça faisait un vrai choc car on avait pas l'habitude de ce genre de chose. Himiko était aller annoncer une seul fois à un homme que sa femme était morte et la réaction de cet homme avait été inscencé, dans un premier temps il a posé des questions sans broncher puis il a sourit. Six heures plus tard il s'est jeter du haut de son toît. Himiko n'avait jamais compris ce geste, mais une femme lui avait expliqué que c'était pour rejoindre sa bien aimée au ciel. Quand Himiko a découvert les dettes que la kunoichi payait pour son mari, elle a douté de l'hypothèse du suicide amoureux. Himiko continuait donc son chemin dans le desert en regardant toujours et encore les fleurs des sables, la tête vers le bas, qui semblaient si triste. La Kazekage ne savait pas quoi penser au moment même où elle marchait vers le pays de l'Herbe, là où se trouvait en ce moment même son ancien maître qui ne serait plus d'ici une année. La Kazekage regarda autour d'elle, encore une fois, encore pour voir si une prescence humaine allait apparaître. Depuis peu les ninjas pensent que tous, nous avons un sixième sens qui nous dit quand nous sommes épier, et la plupart du temps c'est vrai que nous nous doutons de quelque chose mais cela c'est à cause des émanations de chakra et ça n'a rien de mystique. Oui les gens commencent à propager les légendes et au fur et à mesure ces légendes mangent et consumment la chair humaine pour lui faire croire qu'elle réussira ... oui, lui faire croire qu'elle réussira à ne pas tomber dans le panneau. Au final dans toute légende il y a une part de réalité, c'était en tout cas ce que l'ancien maître de Himiko disait toujours et ces paroles n'avaient jamais été mise en doute par la Kazekage. Enfin au moment où elle avait entendu cela elle n'était pas encore Kazekage, juste une élève et encore maintenant elle était une élève qui devait apprendre de plus en plus de choses. Himiko regarda devant elle pour une fois, le pays de l'Herbe était encore à quelques jours de marche alors que les oiseaux auraient pû lui permettre d'y arriver en quelques heures seulement voir quelques minutes si ils s'étaient préssé. Oui les oiseaux étaient l'invocation que Himiko était à présent la seule à maîtriser alors que plus tôt elle avait été une des trois, Karal, Yachiru et Himiko étaient ceux qui avaient libéré l'oiseau celeste et qui avaient bien heuresement réussi à lui permettre de voler librement, à la frontière du pays de la roche et du pays du vent. Oui un petit village appellé Tori si les souvenirs de Himiko étaient exactes. Quand on pense à des souvenirs c'est étrange de voir avec qu'elle facilité on arrive à ce les remémorés ... ou alors avec quel difficulté on arrive à les oublier. Oui c'est étrange de plus que on oublie quand on ne veut pas et on n'y pense pas quand on ne veut pas non plus. La vie est faîte ainsi et nous sommes les pions sur l'échiquier géant. Himiko était concidéré par certains comme le roi sur l'échiquier mais en faîte la Kazekage se considérait plutôt comme une tour, elle avançait toujours droit devant, en prenant en compte tout les ennemis qui bloquaient sa route. De même que Himiko était une tour, Karal avait été un cavalier, il était toujours en train de passer à travers les barrières. Himiko observa tout ce qui était présent dans le desert, desfois il était possible d'observer des oasis, un peu comme un genjutsu mais en plus jolie car les oasis avaient toujours ce tein lumineux. Les arbres qui étaient de ce genre d'illusion étaient appellés " Palmiers ", ils avaient un tronc unique qui allait vers le haut, souvent en penchant légèrement la tête vers le bas, avec leurs feuilles longues et vertes qui semblaient pouvoir acceuillir de l'eau à leur surface, donnant ainsi une aisance à boire supérieur. Ceci étant ces palmiers étaient unique au desert de Suna, mais d'autres palmiers avaient été aperçu dans d'autres endroits que ce desert, à Kiri par exemple, sur les côtes ensoleillés. Accompagné des palmiers, il y avait souvent une étendue d'eau limpide qui laissait un reflet visible de la personne qui regardait dedans. Cette étendue d'eau pouvait être considéré comme une vaste marre d'eau où desfois même un lac. Lorsque Himiko arriva en vue d'un de ces oasis elle but une gorgée d'eau et l'oasis disparu comme il était venu. C'était dû à la chaleur toride qui était apparu quelques temps auparavant. Un effet du combat qui avait opposé Suna à l'Akatsuki ? Non sûrement pas. Himiko arriva en vue d'un temple, ce temple était orné de statues de verre, ce verre construit grâce au sable et à une température très élevée. Il était connu pour porter le nom du " Temple de Verre ", cela n'étant pas surprenant à première vue mais le nom avait un sens plus profond, le verre était un des rares éléments qui refletait le visage, le corps des personnes vivantes. Himiko savait ainsi que les grands maîtres avaient tous passer du temps dans cet endroit où se trouvait le miroir de verre, le miroir du savoir. La Kazekage était tombé totalement par hasard sur ce temple mais comme la nuit semblait s'avancer elle décida d'y faire une halte pour ne pas avoir à veiller durant quelques heures avant de s'écrouler de sommeil. Elle fut acceuili comme on acceuille le maître Kazekage mais lorsqu'on lui proposa une chambre superbement ornée elle répondit simplement qu'elle dormirait sur les remparts de verre. Oui c'était incroyable de voir avec quel facilité Himiko avait décliné l'ordre des érudits résidant dans ce temple mais elle préfèrait mille fois le bon air qu'être enfermé dans cet endroit ornée où elle aurait du mal à respirer. Cela fut prit pour dit et Himiko s'endormit calmement sur la muraille, la nuit passa comme rien et on aurait même pû dire que la Kazekage était épuisé par sa nuit passé à dormir. Himiko partit le matin même mais à peine eut elle fait cents pas elle se rendit compte que quelque chose n'allait pas, les insectes semblaient s'affolés, ce n'était pas bon signe pour la suite des évenements et Himiko repartit donc directement sur le temple, craignant ce qui allait se passer. Elle vit tout à coup une explosion se produire et faire s'éffondrer un loup qui ornait l'entrée dans le verre. Des brigands attaquaient le temple, Himiko savait évidement ce qu'il fallait faire et sans tarder elle s'empressa d'aller sur le temple et d'éliminer les quelques ennemis qui gardaient l'entrée, pas un mot ne fut échanger, pas une syllabe, pas une parole. Himiko entra calmement dans le temple et entendit les érudits qui étaient en train de supplier le grand Dieu d'épargner leurs vies. Himiko se prit au mot et alla directement sur les ennemis les plus proches, mais lorsqu'elle tenta de bouger quelqu'un le retint par derrière. Elle se retourna en sortant un parfum mais se calma de suite. Un sourire illumina son visage, un jeune homme aux cheveux bruns, soyeux et longs, les yeux pigmentés de vert, le nez légèrement plat et les joues pas trop jouflues. Elle chuchota alors :
- Que fais tu ici, Saruso ? Pourquoi tu n'aides pas les érudits ?
Le jeune garçon avait l'air malheureux et d'un signe de la tête il désigna sa jambe, ou plutôt ce qui aurait dû être sa jambe mais à la place se trouvait une protese de bois. Himiko n'hurla pas mais interieurement elle savait que c'était dangereux tout ça. Elle regarda Saruso et celui prit la parole plus vite que la Kazekage.