Alors que la ville de Suna venait de se faire détruire partiellement. Les ninjas de toutes les autres villes et nations étaient sur le qui-vive, chose qui plaisait à Zetsu. Ainsi les combats seraient de plus en plus intéressants, et la nourriture ne se ferait pas rare. Aux environs de 6h du matin, Zetsu apparut devant la porte de Konoha, porte qui était fermée pour son plus grand bonheur.
Lentement, des racines de plus de 10cm de diamètre sortirent de terre pour glisser sur l'immense porte défendant la ville sans faire le moindre bruit. En quelques minutes, la porte était devenue verte de racines, puis sans même un mouvement, la porte éclata face a la pression de la nature.
Les gardes en poste à cet instant sortirent immédiatement pour voir d'où venait ce bruit et ces morceaux de bois qui volaient à présent à travers la ville. Quand ils aperçurent Zetsu, les quatre gardes attaquèrent sans même réfléchir, si ils avaient pris le temps de bien regarder, ils auraient vu que l'assaillant n'était autre qu'un membre de l'Akatsuki. Sans le moindre mouvement de la part de Zetsu, deux des gardes furent attrapés par des racines puis plongés sous terre dans un son d'os brisés. Voyant que la force de l'ennemi venait du sol, les deux autres se placèrent sur des branches, cette erreur leur fut fatale. Aussitôt leurs pieds posés sur les branches, celles-ci se contractèrent avec force et violence pour les empêcher de s'enfuir, tandis que les branches alentours fouettaient toutes les parties des corps des ninjas. C'est dans d'horribles cris de souffrance et de désespoir que l'un des ninjas succombât à ses blessures. L'autre fut emprisonné entre des fines mais puissantes racines et amené aux côtés de Zetsu, toujours non loin de la porte.
Durant ces trois meurtres, Zetsu n'avait pas bougé le moindre morceau de son corps, seule sa tunique propre à l'Akatsuki volait au vent, alors que le chapeau cachait une partie de son visage. Un horrible sourire de joie se faisait voir sous le chapeau.
Les autres ninjas n'osaient même plus bouger, paralysés par ce sourire horrible, et la peur de ce qu'il peut arriver au survivant enfermé dans la cage-racine.