Le Sable volait dans tout les sens, il était vrai qu'il avait plue sans cesse durant trois jours et durant une semaine encore le desert aride serait une terre douce la nuit et d'une chaleur modéré le jour. Pendant ces trois jours de pluie personne ne s'était risque dans le desert mais maintenant les personnes commençaient à refaire la route qui allait : du desert au Pays du Feu, du desert au Pays de la Roche et à tout les autres pays car Suna était bien bordé. Il était aussi très difficile d'accès c'est pour ça que les guerres dans le village étaient très rares mais ils attaquaient les ennemis sans une once d'hésitation lorsque c'était nécéssaire. Les Chefs du village de Suna étaient nommé Kazekage, ceux qui sont maître du vent. Le plus jeune Kazekage de l'histoire de Suna est sans nul doute Karal, qui du haut de ses 14 ans est arrivé Kazekage mais il lui reste un long chemin à parcourir. Karal était un garçon grand, mince, musclé mais pas une carrure de brute. Les cheveux blond en bataille et les yeux d'un bleu profond et triste rendait ce garçon aux traits fin le meilleur combattant de Suna en ce moment. Enfin seulement ci on comptait le village car outre le village, il y avait quelques rares villages dans le desert. Et dans ces villages habitait quatres autres chefs tous plus fort que Karal et même que l'Akatsuki mais le problème c'était qu'ils ne pouvaient quitter leurs villages sinon ils mourraient de suite. Les habitants de ces village n'avaient rien à craindre des ennemis car les villages étaient invisible et ils n'avaient non plus pas le soucis du temps puisqu'ils vivaient tous milles années. Malheuresement les chefs des quatres villages du desert allaient bientôt s'éteindre sans un seul ninja digne de prendre leur place. Il restait deux ans à ces quatres chef nés le même jour et qui mouront le même jour. En ce moment, Karal, le Kazekage actuel, se dirigeait vers l'un de ces villages où habitait un chef qui connaissait autrefois Sajiro Mosuke, l'objet de la mission de Karal. Le jeune garçon connaissait le desert comme sa poche à force de s'y être perdu et de l'avoir visité. Il savait où se situait chaque dune, où se situait chaque village. Et il savait quand il était aux prises d'un genjutsu. Il regarda derrière lui et dit en hurlant, non pas de colère mais d'ennui :
- Que selui ou celle qui m'a mit dans ce genjutsu me sorte de là sinon je le butte.
Une minute passa et aucune réponse ne vint brisser le silence religieux qui s'était installé. Karal, irrité par sa longue journée de marche, utilisa la technique de libération des genjutsus et il fut libérer de l'emprise que le Genjutsu avait sur lui. Il regarda l'homme qui était assis sur le sable, tentant de trouver une prise derrière lui pour reculer et éviter que le garçon ne le tue. Karal regarda quelques secondes l'inconnu et se retourna avec un soupir pousser par l'exaspération. Décidément, les gens n'avaient rien d'autre à faire que de l'ennuyer. Il regarda le soleil et vit que le crépuscule qui commençait à s'installé voulant tuer le soleil à l'horizon. Karal voyait souvent ce genre de paysage à Suna étant donné que le ciel était dégagé et que le trop peu de nuage qu'il y avait n'était pas suffisant pour cacher le soleil qui brulait le sable de son feu ardent lors des jours normaux. Ce genre de paysage rendait Karal joyeux dans ce monde qui ne cessait de s'assombrir. Ces temps ci le soleil était plus doux car les jours de pluie avaient raffraichi l'atmosphère laissant une chaleur stable s'installé pour quelques jours. Le paysage envoutait tellement Karal qu'il ne faisait plus attention à l'ennemi qui le regardait. Quand Karal sortit de ses songes l'homme qui avait tenté de l'attaquer dit d'une voix forte :
- Regarde moi et battons nous, Kazekage
Karal regarda l'homme un instant et sachant qu'il ne pourrait pas passer par une issue sans combat il disparut un instant et lorsqu'il rapparut au même endroit l'ennemi s'évanoui suite au puissant coup que Karal lui avait asséné au niveau de l'estomac. Karal reprit son chemin en direction du village où il devait trouver des informations pour la mission. Il avait déjà perdu assez de temps comme ça avec les occupations ultérieur à la mission. Le jeune garçon continua son chemin.
Quelques heures plus tard le soleil s'était éteint et avait laissé place à une lune brillante autour de laquelle des milliers d'étoiles s'étaient semés. Karal admira quelques secondes et reconnaissant tour à tour la Grande Ours, La Petite Ours, Le Chariot et toutes les autres constellations puis il repartit. La nuit était fraiche, une fraicheur douce ayant laissé derrière elle le doux murmure du vent que l'on reconnaissait si bien lorsque le jour était encore vivant. Karal se coucha dans le sable frais et s'endormit quelques minutes plus tard.
Lorsque l'Aurore commença à poindre à l'horizon Karal avait déjà reprit sa route n'ayant dormi que quelques heures. Karal savait qu'il restait encore quelques heures avant d'atteindre le village. Il regarda la lune partir en marchant. La lune était la même que ailleurs, d'un blanc lumineux, envoutante dans ses heures les plus intérréssantes. Karal arriva en vue du village, ce dernier étant invisible on devrait plutôt dire qu'il arriva au village sans le voir. Lorsque Karal entra dans le village il disparut afin de ne pas inquiété les habitants qui savaient que une visite du Kazekage, non programmé, était un mauvaix prégase.
Un vieil homme portant la barbe, d'un visage creusé par le temps et ridé par les âges qui déffilaient telle une trainée de poussière, se tenait debout, au milieu de jeunes enfants dont la plupart n'avait pas atteint les six ans. Le vieil homme avait l'air de leur enseigner ce qu'ils devraient savoir pour plus tard. Dans ce village on voyait trois stades, le premier étant celui que l'on commence à cinq ans et que l'on termine à seize années de vie. C'était l'apprentissage, la connaissance. Le second commençait à vingt années de vie et c'était l'apprentissage au combat et cela durait la vie d'un homme du village. Le troisième stade, étant le plus important celon le village, était la politique entre le village et Suna et tout les autres villages du desert. Le troisième stade commençait lorsque l'on avait cents années de vie. Le vieil homme s'arrêta soudainement et demanda aux enfants de bien vouloir sortir de la tente car le vieil homme qu'il était avait quelque chose à faire. Lorsque le vieil homme se retrouva seul il dit d'une voix éteinte mais audible :
- Sors de là, Kazekage !
Karal, d'un naturel dénué de sens, sortit de la cachette dans laquelle il s'était caché pour échapper aux regards des jeunes enfants. Il se rendit tout à coup compte que le vieil homme attendait que le Kazekage parle, et en locurance le Kazekage c'était lui. Karal dit d'une voix dégagée :
- Bonjour, Mikurio, je suis désolé de te dérangé mais j'aurais besoin de renseignements sur un conseiller qui s'est échappé après quelques assassinats. Pourrais-tu m'aider ?
Karal regarda la carte posé sur la table du vieil homme. Chaque village du desert avait sa particularité et, ce village, était capable de localisé les personnes présentent sur la terre. Karal regarda le vieil homme et continua sa phrase sans attendre de réponse, ni de contre questions.
- J'aimerais que tu m'aides à localiser le traître Sajiro Mosuke.
Le visage du vieil se ficha, pendant une seconde on l'aurait cru encore plus vieux que d'habitude.
Karal marchait depuis une heure en direction de l'herbe. Il regarda une carte emprunté au vieil homme du village pour retrouver le traître. Karal devait employer les grands moyens et c'est ce qu'il ferait. Il mit la carte dans sa poche et pensa " Direction le Pays de l'Herbe "
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